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PRINCIPALES  SPECIALITES

La cataracte correspond à la perte, généralement progressive, de la transparence du cristallin. Cette affection est très fréquente à partir de 65 ans. Le cristallin est une lentille optique suspendue à l'intérieur de l'oeil, juste en arrière de la pupille. Lorsqu'il s'opacifie sous l'effet de la cataracte, la vision devient brouillée, particulièrement génée lorsque l'on fait face à de fortes lumières (soleil, phares de voiture).  Il n'existe pas de traitement médical, seul le remplacement chirurgical du cristallin par un implant artificiel est à même de rétablir la vision.

CATARACTE
CATARACTE
CATARACTE
Cataracte
L'OPERATION DE LA CATARACTE

 

La chirurgie de la cataracte a considérablement progressé ces 2 dernières décennies. L'intervention dure une quinzaine de minutes, sous anesthésie locale. Le chirurgien utilise 2 micro-incisions qui permettent de réaliser la "phaco-émulsification" du cristallin à l'intérieur de l'oeil. Ce terme veut dire que le cristallin est pulvérisé sous l'effets des ultrasons avant d'être remplacé par un cristallin artificiel appelé implant.

Cette intervention, sauf exception, se déroule en ambulatoire, ce qui signifie une hospitalisation de seulement quelques heures, sans avoir à passer de nuit à l'hôpital.

La récupération visuelle est le plus souvent déjà très satisfaisante après 12 à 48 heures.

L'OPERATION DE LA CATARACTE

 

La chirurgie de la cataracte a considérablement progressé ces 2 dernières décennies. L'intervention dure une quinzaine de minutes, sous anesthésie locale. Le chirurgien utilise 2 micro-incisions qui permettent de réaliser la "phaco-émulsification" du cristallin à l'intérieur de l'oeil. Ce terme veut dire que le cristallin est pulvérisé sous l'effets des ultrasons avant d'être remplacé par un cristallin artificiel appelé implant.

Cette intervention, sauf exception, se déroule en ambulatoire, ce qui signifie une hospitalisation de seulement quelques heures, sans avoir à passer de nuit à l'hôpital.

La récupération visuelle est le plus souvent déjà très satisfaisante après 12 à 48 heures.

L'OPERATION DE LA CATARACTE

 

La chirurgie de la cataracte a considérablement progressé ces 2 dernières décennies. L'intervention dure une quinzaine de minutes, sous anesthésie locale. Le chirurgien utilise 2 micro-incisions qui permettent de réaliser la "phaco-émulsification" du cristallin à l'intérieur de l'oeil. Ce terme veut dire que le cristallin est pulvérisé sous l'effets des ultrasons avant d'être remplacé par un cristallin artificiel appelé implant.

Cette intervention, sauf exception, se déroule en ambulatoire, ce qui signifie une hospitalisation de seulement quelques heures, sans avoir à passer de nuit à l'hôpital.

La récupération visuelle est le plus souvent déjà très satisfaisante après 12 à 48 heures.

CATARACTE et IMPLANTS PREMIUM

 

La chirurgie de la cataracte vise à obtenir une bonne vision de loin sans correction optique (sans lunettes). Celles ci resteront nécessaires pour voir de près, lire, etc. Le choix de l'implant le mieux adapté aux caractéristiques anatomiques de l'oeil permet de corriger des défauts visuels tels que la myopie ou l'hypermétropie.

Certains patients sont également astigmates. Il est aujourd'hui possible de corriger tout ou partie de cet astigmatisme en utilisant des implants spécifiques, dits Implants Premium Toriques.

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Dans certains cas, il est optionellement possible d'utiliser des Implants Premium Multifocaux afin de viser une correction conjointe de la vision de loin et de la vision de près et de réduire ainsi le plus possible la dépendance aux lunettes.

GLAUCOME

Le Glaucome est une pathologie insidieuse, assez souvent héréditaire, qui entraîne à l'insu des malades une perte progressive de la vision périphérique avant de s'attaquer à la vision centrale. On estime en France qu'il existe 1 million de sujets atteint dont seulement la moitié sont connus et suivis.

La base du traitement consiste à faire baisser la tension à l'intérieur de l'oeil, le plus souvent avec des médicaments en gouttes (collyres). Dans certain cas, des traitements alternatifs sont necessaires, par laser, par ultra-sons, ou par chirurgie. L'ensemble de ces moyens thérapeutiques sont proposés à Bégin.

Le suivi régulier de cette maladie est indispensable. Le Centre du Glaucome de l'Hôpital Bégin dispose d'un plateau technique complet permettant le suivi du champ visuel ainsi que l'imagerie et l'analyse anatomique du nerf optique en OCT (Tomographie par Cohérence Optique). Ces explorations font partie des thème de recherche privilégiés de notre équipe médicale et ont amené de nombreuses publications d'articles dans des revues françaises et internationales.

Le Glaucome est une pathologie insidieuse, assez souvent héréditaire, qui entraîne à l'insu des malades une perte progressive de la vision périphérique avant de s'attaquer à la vision centrale. On estime en France qu'il existe 1 million de sujets atteint dont seulement la moitié sont connus et suivis.

La base du traitement consiste à faire baisser la tension à l'intérieur de l'oeil, le plus souvent avec des médicaments en gouttes (collyres). Dans certain cas, des traitements alternatifs sont necessaires, par laser, par ultra-sons, ou par chirurgie. L'ensemble de ces moyens thérapeutiques sont proposés à Bégin.

Le suivi régulier de cette maladie est indispensable. Le Centre du Glaucome de l'Hôpital Bégin dispose d'un plateau technique complet permettant le suivi du champ visuel ainsi que l'imagerie et l'analyse anatomique du nerf optique en OCT (Tomographie par Cohérence Optique). Ces explorations font partie des thème de recherche privilégiés de notre équipe médicale et ont amené de nombreuses publications d'articles dans des revues françaises et internationales.

Glaucome
LE  LASER  SLT

 

Le Laser SLT ou trabéculoplastie sélective est un moyen de traitement du glaucome utilisant des impacts lasers extrêmement courts (1 nanoseconde = 0,000000001 seconde, donc sans aucun effets de brulure) pour remodeler la région de l'oeil responsable de l'évacuation de l'humeur aqueuse. En améliorant ainsi cette évacuation, on peut obtenir une baisse de la tension oculaire.

Ce traitement souvent utilisé pour renforcer un traitement par collyre peut aussi dans certains cas être proposé comme seule thérapeutique d'un glaucome débutant.

Ce geste presque indolore dure quelques minutes et est réalisé en consultation. 2 séances sont nécessaires pour chaque oeil.

LE  HIFU

 

Le HIFU ou cycloaffaiblissement par Ultrasons Focalisés à Haute Intensité est un nouveau traitement des glaucomes répondant insuffisament aux traitements médicamenteux. Il peut constituer une alternative à un traitement chirurgical ou dans certains cas venir renforcer le traitement d'un oeil déjà opéré quelques années auparavant.

Ce traitement est réalisé au bloc opératoire, sous anesthésie locale, au moyen d'une sonde posée sur l'oeil. Cette sonde envoie des salves d'ultrasons en ciblant précisément le corps ciliaire, partie interne de l'oeil qui produit l'humeur aqueuse qui rempli celui-ci. En réduisant la production d'humeur aqueuse par le corps ciliaire, l'HIFU permet une baisse de la tension oculaire.

A QUOI SERT LE CHAMP VISUEL ?

 

Le suivi régulier du champ visuel est depuis plusieurs décennies la base du diagnostic et la détection d'une éventuelle aggravation des glaucomes.

Face à une coupole ou sont projetés des points lumineux d'intensité définie, le patient est invité à cliquer sur un bouton chaque fois qu'il aperçoit un de ces points. L'appareil teste ainsi les différentes régions du champ de vision avec des intensités lumineuses de différentes puissances et recherche pour chaque point le seuil de la plus faible intensité lumineuse perçue par le sujet.

A la fin, l'appareil produit une cartographie du champ visuel qui peut dessiner des zones de scotome, c'est à dire des régions où la perception visuelle est altérée.

A QUOI SERT L'OCT ?

 

La Tomographie par Cohérence Optique est une technique d'imagerie en 3 dimensions qui permet une exploration en profondeur des structures oculaires avec une résolution de quelques microns.

Si l'on comparait l'oeil à un appareil photo, le lieu ou l'image est captée, autrefois la pellicule, aujourd'hui le capteur numérique correspond à la rétine. Celle ci est un tapis d'un million de photorécepteurs répartis au fond de l'oeil, chacun reliés au cerveau par une fibre nerveuse. La réunion de toutes ces fibres nerveuses en un seul "gros cable" constitue le nerf optique. Dans le glaucome, la tension trop forte qui règne à l'intérieur de l'oeil conduit à la disparition progressive de ces fibres nerveuses.

L'OCT mesure avec précision la quantité de fibres nerveuses présentes au fond de l'oeil et analyse la structure du nerf optique. Il permet ainsi de diagnostiquer et de suivre dans le temps des pertes de fibres ou des altérations en relation avec le glaucome.

DMLA
DMLA

La dégénérescence maculaire liée à l'âge atteint la région centrale de la rétine. On distingue la DMLA atrophique ou sèche qui réalise une atrophie lentement progressive de cette région, et la DMLA exsudative ou "humide" qui voit la naissance de vaisseaux sanguins anormaux au sein de la macula. Ces vaisseaux créent des oedèmes, des déformations de la macula et peuvent se compliquer d'hémorragie maculaire. Ces déformations de la macula expliquent que l'on puisse, en regardant avec un oeil après l'autre un quadrillage ou une grille de mots croisés, voir apparaître les lignes déformées ou gondolées.

Le traitement de la DMLA exsudative repose sur l'injection intra-oculaire d'un médicament qui s'oppose à la croissance des vaisseaux sanguins anormaux.  On réalise le plus souvent 3 injections séparées chacunes d'un mois, puis commence un suivi régulier basé notament sur l'examen de la macula en OCT (tomographie à cohérence optique). Si une récidive est détectée, de nouvelles injections sont réalisées.

La chirurgie réfractive cornéenne au laser a pour objectif de corriger les anomalies de la puissance optique de l’oeil, telles la myopie, l’astigmatisme, l’hypermétropie et la presbytie. 
Cet acte opératoire s'est largement répandu en France ces dernières années. En effet, environ 300 000 procédures ont été réalisées dans l'hexagone en 2016.

Son principal objectif est de rendre les patients totalement indépendants d’une correction par lunettes ou par lentilles de contact (de tels résultats permettent également un accroissement des performances visuelles du militaire combattant).
Elle nécessite un bilan préopératoire complet et une information claire et intelligible quant à ses possibilités et à ses limites. 

Réfractive

PRINCIPALES   TECHNIQUES

 

-La PKR (Photo-Kératectomie Réfractive) :

Consiste à remodeler la surface cornéenne à l'aide du laser de surface (laser Excimer), après ablation mécanique de son épithélium.

Elle concerne préférentiellement les myopies faibles à moyennes et certains cas particuliers.

 

-Le LASIK (Laser In Situ Keratomileusis) :

Technique la plus utilisée, elle utilise 2 lasers et comprend deux temps opératoires. Le premier temps consiste à découper une lamelle de cornée, parallèle à sa surface,  d’une épaisseur d’environ 120 microns l'aide du laser femtoseconde. C’est le « capot » cornéen.    Puis, après avoir soulevé ce capot, le deuxième temps est la sculpture par photo-ablation dans l’épaisseur de la cornée (le stroma cornéen) à l'aide du laser Excimer. Cette sculpture terminée, le capot est remis en place et recouvre la face avant de la cornée.

La photo-ablation cornéenne concerne le centre de la cornée chez le myope (afin de l'aplatir) et la périphérie chez l'hypermétrope (afin de la bomber).

Cet acte opératoire sera préférentiellement réalisé chez les forts myopes, forts hypermétropes et forts astigmates, pour lesquels la cornée aura été jugée suffisamment épaisse et régulière lors du bilan pré-opératoire.

​

-Le PresbyLASIK (SUPRACOR™) :

Intéresse les patients presbytes, qu'ils soient myopes ou hypermétropes. L'acte opératoire se déroule comme le LASIK. Ici, le laser Excimer va créer une multifocalité cornéenne, permettant  une réduction importante de la dépendance aux lunettes ou lentilles  en vision de loin comme en vision de près.

PRINCIPALES   TECHNIQUES

 

-La PKR (Photo-Kératectomie Réfractive) :

Consiste à remodeler la surface cornéenne à l'aide du laser de surface (laser Excimer), après ablation mécanique de son épithélium.

Elle concerne préférentiellement les myopies faibles à moyennes et certains cas particuliers.

 

-Le LASIK (Laser In Situ Keratomileusis) :

Technique la plus utilisée, elle utilise 2 lasers et comprend deux temps opératoires. Le premier temps consiste à découper une lamelle de cornée, parallèle à sa surface,  d’une épaisseur d’environ 120 microns l'aide du laser femtoseconde. C’est le « capot » cornéen.    Puis, après avoir soulevé ce capot, le deuxième temps est la sculpture par photo-ablation dans l’épaisseur de la cornée (le stroma cornéen) à l'aide du laser Excimer. Cette sculpture terminée, le capot est remis en place et recouvre la face avant de la cornée.

La photo-ablation cornéenne concerne le centre de la cornée chez le myope (afin de l'aplatir) et la périphérie chez l'hypermétrope (afin de la bomber).

Cet acte opératoire sera préférentiellement réalisé chez les forts myopes, forts hypermétropes et forts astigmates, pour lesquels la cornée aura été jugée suffisamment épaisse et régulière lors du bilan pré-opératoire.

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-Le PresbyLASIK (SUPRACOR™) :

Intéresse les patients presbytes, qu'ils soient myopes ou hypermétropes. L'acte opératoire se déroule comme le LASIK. Ici, le laser Excimer va créer une multifocalité cornéenne, permettant  une réduction importante de la dépendance aux lunettes ou lentilles  en vision de loin comme en vision de près.

PRINCIPALES   TECHNIQUES

 

-La PKR (Photo-Kératectomie Réfractive) :

Consiste à remodeler la surface cornéenne à l'aide du laser de surface (laser Excimer), après ablation mécanique de son épithélium.

Elle concerne préférentiellement les myopies faibles à moyennes et certains cas particuliers.

 

-Le LASIK (Laser In Situ Keratomileusis) :

Technique la plus utilisée, elle utilise 2 lasers et comprend deux temps opératoires. Le premier temps consiste à découper une lamelle de cornée, parallèle à sa surface,  d’une épaisseur d’environ 120 microns l'aide du laser femtoseconde. C’est le « capot » cornéen.    Puis, après avoir soulevé ce capot, le deuxième temps est la sculpture par photo-ablation dans l’épaisseur de la cornée (le stroma cornéen) à l'aide du laser Excimer. Cette sculpture terminée, le capot est remis en place et recouvre la face avant de la cornée.

La photo-ablation cornéenne concerne le centre de la cornée chez le myope (afin de l'aplatir) et la périphérie chez l'hypermétrope (afin de la bomber).

Cet acte opératoire sera préférentiellement réalisé chez les forts myopes, forts hypermétropes et forts astigmates, pour lesquels la cornée aura été jugée suffisamment épaisse et régulière lors du bilan pré-opératoire.

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-Le PresbyLASIK (SUPRACOR™) :

Intéresse les patients presbytes, qu'ils soient myopes ou hypermétropes. L'acte opératoire se déroule comme le LASIK. Ici, le laser Excimer va créer une multifocalité cornéenne, permettant  une réduction importante de la dépendance aux lunettes ou lentilles  en vision de loin comme en vision de près.

FAQ  -   QUESTIONS  FREQUENTES

 

 

Combien me coûtera mon intervention ?

Le prix du LASIK et de la PKR est de 900 euros par oeil.

Le prix du PresbyLASIK est de 1200 euros par oeil.

 

Quelle proportion du prix est prise en charge par la Sécurité Sociale ?

Il s'agit d'une chirurgie de confort, et de ce fait, il n'y a aucune prise en charge financière effectuée par la Sécurité Sociale.

Il est indispensable d'interroger votre Complémentaire Santé car de nombreuses mutuelles prennent en charge une partie de l’intervention.

 

Jusqu'à quand pourrais-je porter mes lentilles de contact ?

ATTENTION !  Afin de ne pas fausser les résultats des examens pré-opératoires, il est indispensable de ne plus porter vos lentilles de contact au moins 15 jours avant la consultation pré-opératoire et au moins 15 jours avant la date opératoire (où un dernier examen sera effectué).

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Combien de temps va marcher ma chirurgie ?

Il existe un recul important sur ces techniques. En effet, la PKR a été introduite à la fin des années 1980 et le LASIK au début des années 1990. Ainsi, de nombreuses études menées sur le long terme ont montré l'efficacité durable de ces techniques opératoires.

En revanche, si la myopie était en cours d’évolution au moment de l’intervention, la chirurgie n’empêchera pas la poursuite de l’augmentation de celle ci.

De ce fait, il est indispensable que la myopie pré-opératoire soit strictement stable (depuis au minimum 1 an) et nous estimons qu'il ne faut pas opérer les forts myopes, s'ils sont très jeunes.

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Quels sont les risques ?

Les complications sont rares (1% à 3% selon les études) mais peuvent pour certaines engager le pronostic visuel. Les principaux risques sont :

-PKR : abcès de cornée sous lentilles de contact (en effet, il est indispensable de porter des lentilles de contact pendant 5 jours après la chirurgie, qui guideront la cicatrisation de votre cornée), inflammation de la cornée ou Haze  cornéen, rarement sévère et curable par des collyres anti-inflammatoires.

-LASIK et presbyLASIK : plis et déplacement du capot (après un fort contact direct sur l'oeil), invasion épithéliale, syndrome de l'interface cornéenne, ectasie cornéenne.

 

Quelles seront les suites opératoires ?

Tout d'abord, il faudra veiller à poser des jours de congés car l'acte opératoire ne donne pas droit à un arrêt de travail.

-PKR : poser 5 jours de congés.

Consultations post-opératoires à J5 et M1. Très améliorée en 3 à 5 jours, la vision définitive est atteinte entre 1 mois à 3 mois.

-LASIK : poser 2 ou 3 jours de congés.

Consultations post-opératoires à J1, J7 et M1. Très améliorée en 2 à 3 jours, la vision définitive est atteinte entre 1 semaine à 1 mois.

L’orthokératologie permet de corriger des défauts réfractifs (myopie légère à modérée (<-5), astigmatisme cornéen léger à modéré (<-2)) par le port nocturne d’une lentille rigide. Cette méthode fonctionne par un remodelage temporaire de l’épithélium (couche superficielle de la cornée). Durant la journée, la lentille est retirée et la vision reste nette, sans lunette, sans lentille. Ce mode de correction est particulièrement adapté pour les patients pratiquants des sports nautiques, des sports de combat, les patients travaillant dans des milieux poussiéreux ou pour les patients ne supportant pas les lentilles classiques. Enfin, certaines études ont mis en évidence un effet freinateur de la myopie chez l’enfant. Ce mode de correction est donc à envisager chez l’enfant de plus de 8 ans et ayant une myopie qui évolue.

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Orthokeratologie

FAQ  -  QUESTIONS FREQUENTES

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Comment et quand dois- je mettre et enlever mes lentilles ?

Les lentilles sont posées sur l’œil au coucher. Une nuit de 6 heures et la durée minimale pour avoir une vision correcte supérieure à 12 heures.

Dès le réveil, une goutte de larme artificielle doit être instillée dans les 2 yeux en raison d’une possible sécheresse au réveil. Les lentilles peuvent être retirées quelques secondes après.

 

Comment  se passe l’adaptation ?

Le premier rendez-vous a pour but d’éliminer les contre-indications, d’étudier votre cornée précisément à l’aide d’un examen spécialisé (topographie). A la fin de la consultation, votre médecin vous dira si oui ou non vos yeux peuvent être corrigés par l’orthokératologie.  Attention , il est important de ne pas avoir porté ses lentilles souples pendant au moins 72 heures avant ce RDV afin de ne pas fausser l’étude de la cornée.

En cas d’adaptation, différentes consultations de contrôle seront organisées généralement la veille de la première nuit de port, le lendemain, une semaine et un mois après.

 

Combien coute la lentille ?

Selon la complexité de la lentille, le prix varie entre 300 et 450 euros. La durée de vie moyenne de la lentille est de 1 an.

Le produit d’entretien est disponible sous forme de pack 3 mois au prix de 40 euros.

Le prix total est d’environ 45 euros par mois.

 

Quels sont les incidents et accidents possibles :

L’infection de la cornée peut survenir en cas de non-respect des règles d’usage (port prolongé, entretien et renouvellement non conforme aux recommandations).

La vision est fluctuante les 10 premiers jours suivants l’adaptation.

Le décentrement de la lentille peut provoquer une vision insuffisante.

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